Ouverture de rideau pour « Tout pour la lumière ». Une série musicale entre cours de chant, danse et classes artistiques, rythmée également de saga familiale et intrigues amoureuses composant le quotidien de ses talents en herbe. Un feuilleton à l’affiche à la fois sur Netflix et TF1.
Une série-musicale sur fond d’intrigues feuilletonnantes
Du talent, un premier tube, Victoria Vargas avait tout pour briller sous le feu des projecteurs. Ce qui ne l’a pas empêché d’éteindre son micro. Une fin de carrière précipitée dont la raison demeure toujours mystérieuse 20 ans plus tard. Au même moment où la chanteuse incarnée par Joy Esther renoue malgré elle avec son ancienne vie d’artiste ainsi qu’avec sa famille à qui elle avait tourné le dos. La raison : Veiller sa mère Florence (Isabel Otero) plongée dans le coma après une grave chute dans les escaliers du Studio Lumière dont elle est la directrice. Aux côtés de ce personnage principal, son mari Max et son ado Baya du même âge que la nouvelle génération de talents en herbe allant à leur rencontre. Des élèves faisant leurs gammes entre cours de chant, danse, composition avec l’espoir de décrocher la signature d’une maison de disque. Un « Un, dos, tres » 2.0 ambiance « Glee » ou encore « Fame » jouant à fond la carte de la série musicale sans pour autant tomber dans la comédie musicale. Avec pour décor central 1000m2 de salles de danse, micros ou studio d’enregistrement occupant l’ancienne place du Mistral. Un Studio lumière en pochette du générique donnant le ton de « Tout pour la lumière ». Un hymne lumineux entraînant et fédérateur interprété en collégiale par les acteurs eux-mêmes. Parmi les voix entre autre celle de Clément Massy (demi-finaliste de « The Voice » 2024) dans le rôle d’Eden Louvet. Mais aussi Marco Bouttin (« The Voice » saison 6), Marie Alexandre entendue dans « The Voice » belgique, Loris Triolo dans la saison 11 française, Yara Charry ou Abdellah Boujalal toujours de la famille du télé-crochet à l’aveugle. Ou encore Gwendal Marimoutou alias Jacob. Et même Vitaa qui enfilera elle le costume d’Ophélia, une chanteuse proposant des masterclass occasionnelles clin d’oeil à son rôle de marraine dans la « Star Academy ». Des artistes qui seront à la fois devant la caméra mais aussi derrière le micro pour interpréter en live des singles inédits écrits sur-mesure selon le personnage et style musical de chacun ainsi que des reprises de CélineDion, Stromae, Clara Luciani ou Dua Lipa. Une bande son qui résonnera durant les épisodes avant de retentir sur toutes les plateformes de streaming après chaque diffusion. Autres visages connus du grand public, Louve Le Coadouaperçue dans « Le remplaçant » incarné par JoeyStar, en passant par Prudence Leroy alias Fanny dans « Plus belle la vie » ou Louis Duneton du côté du corps professoral. Une joyeuse troupe composant au sein de ce centre réputé de chant et danse situé au beau milieu des paysages solaires de La Ciotat. Un bal de cours artistiques valsant aussi entre intrigues amoureuses, colocations d’étudiants, secrets de famille, mensonges et trahisons. Tout comme les autres feuilletons de TF1 « Plus belle la vie, encore plus belle », et ses voisins de cases « Ici tout commence » et « Demain nous appartient » conservant leurs horaires habituels de 18H40 et 19H10.
Une double diffusion
Une accès prime time que souhaite renforcer la première chaîne d’audience en programmant « Tout pour la lumière »à 18H. Avec en plus de cette diffusion à heure de grande écoute, la possibilité de visionner le même contenu sur Netflix. Un partenariat inédit entre la plateforme de streaming et TF1 né d’une « volonté commune d’innover à la fois dans la création et les modalités de diffusion » d’après Anne Didier, directrice artistique de la fiction française de TF1. Autre objectif : « Enrichir son offre qualitativement et quantitativement, sans exploser les coûts » avait précisé Ara Aprikian, directeur général des contenus du groupe TF1 qui déjà avait collaboré avec la plateforme internationale sur les mini-séries « Le Bazar de la charité », « Les combattant » et le téléfilm « Tout le bleu du ciel ». Un géant américain qui habituellement met en ligne la saison entière d’une série. Mais qui pour l’occasion se cale sur le même rythme que le petit écran avec tout de même une petite longueur d’avance. Les trois premiers épisodes étant accessible aux abonnés depuis ce vendredi 9H01. Horaire d’ajout de chaque nouvel épisode quotidien dés demain puis dés le 18 juin du mercredi au dimanche, avec donc cinq épisodes d’avance sur TF1 donnant elle rendez-vous aux téléspectateurs sur son canal dés ce lundi 16 juin à 18H. Une mini-série visionnable en streaming sur TF1+ avec pour les abonnés premium la possibilité de visionner les épisodes deux jours avant leur diffusion télé. Pour l’heure 90 épisodes de 25 minutes ont été commandés.
L’info + : De son côté M6 lancera la série quotidienne « Nouveau jour » le lundi 30 juin à 20H35.
Lancement de la série « Tout pour la lumière » ce vendredi 13 juin sur Netflix puis mise en ligne d’un épisode chaque jour. En plus d’une diffusion du lundi au vendredi sur TF1 à 18 H dés ce lundi 16 juin
DROUIN ALICIA