Il ne s’arrête plus. Après avoir chanté le confinement avec beaucoup de dérision au son de son célèbre hit « ça m’énerve » version 2020, Helmut Fritz poursuit son retour surprise en s’attaquant cette fois à l’épreuve suivante du déconfinement. Une nouvelle étape célébrée avec toujours autant de second degré à travers le hit «Particules Fines » fraîchement libéré.

Helmut Fritz - Particules fines - déconfinement

Les joies du déconfinement

C’est un retour qui fait du bruit. En avril dernier Helmut Fritz prenait le public de court en refaisant surface avec le hit « ça m’énerve 2020 » après de longues années de silence. Un chanteur qui n’a rien perdu de sa motivation : celle d’amuser et divertir avec beaucoup d’humour. Une recette conservée et appliquée à « Particules Fines ». Son nouveau morceau sorti ce lundi 11 mai, date symbolique marquant le début du déconfinement en France.
Un nouveau challenge pour les individus qui doivent apprendre à composer avec les mesures barrières toujours indispensables, et à reprendre petit à petit le cours de la vie courante.
Pour Helmut Fritz c’est avant tout une nouvelle opportunité de rire et se changer les idées.
Une mission qu’il accomplit à coup de paroles légères sur fond de sonorités dansantes.
« T’es enfin retourné chez le coiffeur, t’as pleuré en revoyant le facteur, t’as brulé un cierge devant le Burger King, avant de foutre le feu à l’usine » débite-t-il en plaisantant au sujet des habitudes retrouvées.
« On veut déconfiner, on n’est pas des cons finis, ralentis c’est tout on reste ici, chez nous» poursuit-il au cours d’un refrain dans le même registre. Un texte rempli de second degré, mais avec derrière un message subtil invitant chacun à continuer à faire preuve de prudence.
Et un léger pied de nez aussi à la crise sanitaire dont on n’est pas encore totalement sorti.

Helmut Fritz - Particules fines - déconfinement

Un parisien dans la ville

Une première sortie sans attestation, immortalisée par Helmut Fritz dans le clip de «Particules Fines ». Une vidéo pleine de folie dans laquelle on retrouve d’abord le chanteur face à la Tour Eiffel, trompette dans la bouche profitant de cet endroit incontournable encore désert. S’amusant de l’absence de touristes mais aussi des grandes retrouvailles avec la pollution . Un petit saut dans la capitale que cet extravagant poursuit au volant d’une jeep décorée aux couleurs de Jurassic Park. Un moment d’euphorie qui se poursuit dans la foret. Bref des images au grand air qui sentent bon la liberté et l’ironie.

DROUIN ALICIA